3.4.12

Le bonheur de la simplicité

Il ne faut jamais sous-estimer la valeur de la simplicité. If it ain't broke, don't fix it...

Maintenant que Calixte a 4 ans, il semble de plus en plus faisable (et non nécessairement souhaitable) d'ajouter un bébé dans la famille. Nous sommes encore relativement jeunes, assez pour élever un autre enfant à partir de zéro, alors il nous arrive d'y penser. Calixte aime l'idée d'avoir un frère, c'est un petit gars sociable, mais il aime aussi passer du temps calme chez lui.

Malgré tout, je ne peux m'empêcher de craindre de briser une famille parfaite. Autour de nous, tous les couples (ou presque) semblent battre de l'aile à partir du deuxième enfant et je ne les blâme pas! Le stress qui se multiplie par 100, ça ne peut faire autrement que d'amener des conséquences, surtout pour les couples, qui, sans trop y réfléchir, ont toujours anticipé avoir "deux enfants ou plus".

Par expérience de vie, autre que parentale, je sais qu'il ne faut jamais négliger l'importance de la vie "facile". Il faut savoir profiter de ce qu'on a et non vivre dans l'anticipation d'une autre situation - potentiellement meilleure. C'est dans cette optique que je crois que notre choix de n'avoir qu'un seul enfant se confirme. On ne veut pas se détruire comme couple, ni comme famille. On veut continuer à vivre une vie facile, agréable, qu'on sent avoir vraiment choisie. Calixte aura aussi à faire ses choix, plus tard, peut-être différents, mais en attendant, il ne pourra pas nous reprocher d'avoir fait les nôtres à la légère.

Pourquoi parler si souvent de cette décision de ne pas avoir d'autres enfants? Probablement parce que je n'ai pas encore fait la paix avec elle. Mais ça s'en vient...

Note : L'écriture de ce billet est merdique et non révisée. C'est ça quand on se sert du iPad.

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